Nom: Yoruda
Prénom :Sayu
Surnom: Kaori Shi/ Yoru
Sexe: Feminin
Age: 22 ans
Taille: 1m63
Poids: 48 kg
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Grade: Agent du CP9
Styles de combat: A toujours un poignard sur elle, utilise le Rokushiki, et le poison.
Le poison que Sayu utilise est en faite un parfum contenue dans des fioles à base de plusieurs ingrédients et ayant différentes actions, en voici les principaux:
bakuyaku(explosif): poudre qui explose lorsqu'il rencontre un quelconque objet.
kin-suna(sable d'or): poudre d'or. Lorsque celle ci est ingurgitée ou inspirée la victime est déchirée de l’intérieur.
hakkyou (folie): La cible perd sa capacité de réfléchir et a des réactions imprévu.
kayui (démangeaison): La personne en contact avec ce produit ne peut s’empêcher de s'arracher la peau.
ikigire (étouffement): La poudre empêche la cible de respirer.
dowasure : poudre d'oubli, souvenirs en folie, victime perdue, mémoire disparue.
nioi-bikou (odeur, traquer): ce parfum laisse une odeur que seule les prévenue peuvent repérer.
Les parfums comme hakkyou ou dowasure ont une durée d'environ 60 seconde, selon le gabarie de l'individu ou la dose utilisée.
Fruit du démon: pas encore
Objectif: Voler de ses propres ailes, tachées de sang et suivre sa route, parmi les cadavres.
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Psychologie: Sayu.... qui-est elle? Qu-est elle? Certains la prendraient pour un démon. Une bête immonde assoiffée de sang. Le but de sa vie? Le meurtre. Elle n'a pas l'air ainsi à vue d’œil, mais une fois face à elle, au combat, alors qu'elle explose de rire en léchant le sang qui dégouline de son arme, ses yeux prennent une lueur diabolique et nul ne reste impassible devant une pareille folie. Cet état, c'est celui que prends Sayu lors d'un combat mais, lorsque ses yeux reprennent enfin une teinte normale, que son cœur bat moins vite et que son visage se décrispe, Sayu peut rester des heures à regarder un paysage, à coudre, ou a préparer un nouveau poison, ce qui est d'ailleurs son activité principale.
Sayu est solitaire, elle affiche la plupart du temps une expression neutre sur son visage. Très mauvaise comédienne, son entourage sait facilement quelle sensation la traverse. Son ton ironique ne plait pas, son humour noir, encore moins et pourtant quelque chose en elle la fait ami à certaines personnes. Cette jeune fille peut sembler glacial, certains peuvent pourtant y entrevoir un cœur. Notamment lorsque cette même jeune fille se retrouve devant un bambin. Depuis petite, Sayu a un faible pour les enfants, peut être parce qu'elle même n'a pas eu d'enfance. Elle ne peut s’empêcher de se sentir importante pour eux et de les protéger. Évidemment, cette lubie ne l’arrête pas lorsque ses pulsions meurtrières la prennent. Sayu n'est ni perspicace, ni naïve, elle ne brille pas d'intelligence et n'est pas persévérante. Parfois, avec un peu d'alcool ou juste une bonne nuit de sommeille, la fille "normale" dans Sayu se réveille. Elle est alors capable de rire et de faire rire. De sembler faible et d'avoir besoin d'aide. Dans ces moments là, qui suivent souvent un combat, Sayu est très attachante. Cela peut paraitre étonnant, mais cette femme n'a pas de sang froid. Elle ne s’énerve pourtant pas. Peut être est-ce de l'impassibilité ou du détachement, mais, tant que cela ne concerne pas un enfant, Sayu ne s’énerve que très rarement.
Pourquoi a-t-elle choisie de rejoindre le CP9? On a beau chercher, il n'y a pas de bonnes raisons. Si ce n'est que grâce à ce rang, elle peut tester ses poisons et aussi car cela lui a permit de gagner beaucoup de force grâce aux techniques de cette faction.
Physiologie: Sayu, de taille moyenne n'a pas un physique très remarquant. Ses cheveux sont sombres, coupés carrés avec des mèches folles. Ses yeux sont dorés et profonds, une éternelle robe noir lui sert d'accoutrement. Celle-ci met joliment son corps en valeur sans pour autant dévoiler des formes énormes. Sayu n'est pas un tas de muscle, mais elle a une vitesse impressionnante (du au Rokushiki) qui compense largement lors des combats. Elle a une démarche gracieuse et très silencieuse. Elle tient beaucoup a son hygiène et prends au moins une douche par jour. La nourriture est quelque chose de très important chez elle. Elle ne mange pas beaucoup mais ne loupe aucune forme de repas, que se soit gouté ou autre, dans la journée. Sayu a une très belle voix, qu'elle utilise souvent, qu'elle soit seule ou pas. Sayu aime fredonner des chants joyeux dans les moments ou l’atmosphère est remplis de larme, de stress ou de peur. Sayu a des petits pieds qu'elle recouvre la plupart du temps d'air, car elle n'aime pas spécialement mettre des chaussures. Sinon, elle met des bas noir et des petites ballerines de la même couleur. Ses membres sont fins et élancés. Elle prends grand soin de ses ongles qui, lors de réactions chimiques imprévus, se teinte ou s'abiment, mais ça, c'est le risque de son métier. Sayu a une vue perçante, mais, n'est pas du tout observatrice et donc, ne se rend pas compte de cette aptitude. Son odorat est lui par contre, extrêmement développé, car elle s'en sert la plupart du temps pour composer ces poisons. Elle est d'ailleurs très forte pour percer à jour un parfum ou un poison. Ses autres sens n'ont rien de remarquable. Sayu porte sur sa jambe gauche, au niveau de la cuisse, un étui noir, comportant un poignard, le plus souvent dissimulé pas sa robe.
Biographie: Sayu est née pour tuer. Sa mère l'avait enfanté dans l'intention de la laisser à un organisme qui enseignait le meurtre aux enfants dés le plus jeune âge pour en faire des machines de guerre. Dés qu'elle fut apte à quitter sa mère, on lui enseigna les bases du meurtre, ce qui, la rendit impassible et lui enferma son cœur dans un étau de pierre, à elle et ses nombreux compagnons d'infortune. Évidemment, Sayu ne se rendait pas compte de l'inhumanité de ces actions. Tuer lui avait été enseigné comme on apprends à manger ou à marcher. Elle atteint ainsi l'âge de huit ans. A huit ans, elle était l'une des meilleur de sa catégorie, et c'est à elle qu'on remit la première mission. Mais elle se passa mal et Sayu n'en revint jamais.
La structure dans laquelle avait grandi Sayu était une forme détachée du gouvernement qui régnait sur un paquet d'îlots. Inconnu de tous, il était géré par un paquet d'assassin ou de professeur d'arme ayant mal tournés. Cette organisation avait été fondé par un ancien révolutionnaire qui avait été touché par une folie aiguë et voulait conquérir le monde. Il avait alors monté une troupe d'élite, composée d'anciens mécènes, de bandits, pirates ou autres vermines de la société. Il s'était emparé d'une île puis avait fini d'étendre son pouvoir, son peuple lui était complétement soumis, de leur volonté. Effectivement ce révolutionnaire avait un certain charisme. Et c'est en cachant sa troupe de dévot, qu'il eut l'idée du siècle: Avoir une troupe parfaite de tueurs accomplis et soumis. C'est en apercevant un orphelin pleurant et le suppliant qu'il eut une idée. Il recueillit les orphelins du pays, et les entraina sans relâche. Quelques années plus tard, il se rendit compte qu'il avait fait fausse route. Sa troupe nouvellement constituée n'était pas à son goût, car, les jeunes adultes gardaient des souvenirs de leur passé et étaient encore trop humains. Il décida donc de prendre les enfants avant qu'ils ne marchent, avant qu'ils ne parlent, juste au moment ou ils sortaient du ventre de leur mère. Il commença donc son nouveau projet. Sayu, née d'une catin, était un fardeau pour sa mère. Ce fut avec soulagement et sans remord qu'elle remit sa fille à sa nouvelle "famille". Les enfants avaient alors des jours d'apprentissage, les rendant autonomes mais soumis, fort et impassible, cruels et solitaire. On refusait toute forme d'amitié ou de chaleur. On leur interdisait de réfléchir par n'importe quels moyens cruels.... La souffrance était une habitude pour eux, afin que blessés, ils puissent continuer à se battre.
Sayu ne connaissait évidemment aucun des détails précisé dans le paragraphe plus haut. Et même s'il elle le savait, elle en attacherait guère d'importance. Elle était ce qu'elle était et elle ne se trouvait pas spécial. Et même à 19 ans, lorsqu'elle entra dans le CP9, elle jouissait d'une confiance en elle impénétrable et implacable.
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Il faisait nuit noire. Sayu avait les yeux fermés, elle venait de se réveiller mais, ayant entendu des voix, elle préférait ne pas montrer qu'elle était consciente. La voix qui lui parvenait était celle d'un homme qui discutait avec une voix plus faible, d'une femme. Celle de l'homme semblait pressée et furieuse. Au contraire, la femme était calme et essayait de calmer son compagnon. Sayu n'entendait pas ce qu'ils disaient, ils ne paraissaient être dans la même pièce. La petite fille se risqua d'ouvrir un œil.
Elle se trouvait dans une chambre exiguë, meublée maigrement elle contenait au total trois meubles sans compter le lit dans lequel elle était installée. Elle laissa ses yeux s'habituer quelque temps à l'obscurité puis se redressa sur un coude. Elle remarqua que les voix s’atténuaient, comme si elles s'étaient éloignées. Sans mouvement brusque, elle s'adossa au mur. Elle sentit un éclair dans son épaule et remarqua que celle-ci était recouverte d'un bandage. Un mal de tête pris soudain son crane. Elle passa doucement sa main le long de son épaule pour voir jusqu'où allait son bandage. Celui-ci recouvrait totalement son buste. Elle entreprit alors de rechercher dans ses souvenirs ce qu'il s'était passé:
Un matin, Karl lui avait ordonné de se réveiller. Cela avait déplu à Sayu, mais, elle ne voyait pas pourquoi elle n'obéirait pas. Elle s'était donc levée et avait préparé ses affaires comme on le lui avait demandé. Sans un regard en arrière, sans peur, elle avait franchis la porte seule, pour la première fois depuis huit ans. Mais, loin de se rendre compte qu'elle était libre, qu'elle pourrait désobéir et s'enfuir, recouvré une vie qui aurait du être la sienne, elle avançait tranquillement en songeant avec un éclat joyeux dans les yeux au prochain massacre qu'elle allait commettre.
Arrivée à destination, elle franchi le portail ouvert et se retrouva dans une cour. La ferme criait de vie. Les poules, libres, mangeaient tranquillement l'herbe sous leurs pattes pendant qu'un gros matou les regardait en se léchant les babines. Des enfants, du même âge que Sayu, jouaient en poussant des rires et des cris de joie. Une jeune femme étendait le linge pendant qu'un jeune homme la guettait, ne sachant que faire pour attirer son attention. Dans la maison, on pouvait apercevoir par la fenêtre une dame en train de préparer le repas, pendant qu'une autre cousait dans le salon en disputant un adolescent. La cuisinière, elle se nommait Marie-Jeanne, mère de Mario, Simon et Paul, ces trois la étaient ceux qui jouaient dehors, surement avec deux de leurs amis du village. L'adolescent était le second, il s'appelait Pierre et venait de tendre son dernier devoir à sa grand-mère Sophie, mère de Alain. L'ainée, était la jeune fille étendant le linge. L'homme de la maison, appelé Alain, se trouvait au champ. Il manquait un enfant, âgé de cinq ans, il était le petit dernier mais était gravement malade et se trouvait dans sa chambre avec le docteur. La grand mère, le couple, les six enfants. Sayu ne savaient rien d'eux, sinon qu'ils devaient mourir.
Debout dans l'allée, la petite assassin ne passa pas inaperçu. Simon ne tarda pas de courir la voir en lui demandant de jouer. Sayu ne le regarda même pas et continua d'avancer. On lui avait dit neuf. Hors, elle en voyait six. On lui avait fait le descriptif de chacun et elle avait compris que trois des six étaient des intrus. S'ils ne partaient pas, ils s'ajouteraient au nombre des victimes. C'est alors que la porte d'entrée s'ouvrit sur une jeune femme aux cheveux roux et au regard vert émeraude. Marie-Jeanne lui serra la main en la remerciant de ce qu'elle faisait pour son fils. Cette femme à l'allure étrange était Mana, la médecin de la région. Sayu ne la connaissait pas, et elle ne remarqua pas le regard poignant que jeta Mana sur elle. Mana disparu en direction de la forêt placée en bordure de la ferme. C'est alors que Marie-Jeanne remarqua l'enfant. Elle lui posa des questions de façon sympathique, mais ne reçu aucune réponse. Le soleil commencait à se coucher, les étrangers de la maison commencèrent à partir. Sauf Sayu, qui dégustait un verre de lait et une part de gâteau fait maison. Le père était arrivé, ils étaient maintenant huit. C'est à ce moment là qu'elle attaqua. C'était remarquable que de voir un tel spectacle. Une petite fille de même pas dix ans, se mouvant comme un serpent, comme le vent dans un moulin, les gouttes de sang tournoyaient autour d'elle, les corps tombaient, leur visage à jamais crispé dans une expression de surprise. Une furie avait investit la maison et entamé son piètre travail. Mais sa ne se passa pas comme prévu. Alors qu'elle avait achevé la moitié de ses proies, une douleur fulgurante traversa son épaule puis son dos. Son dernier souvenir était un bijou couleur émeraude, perdu dans un océan de roux.
"- Tu es réveillée."
Cette parole n'était ni une question ni une exclamation, mais juste, une simple constatation. Sayu releva la tête. Plongé dans ses souvenirs, elle n'avait pas aperçu la silhouette entrer dans la chambre. Sayu avait reconnu la voix de la femme qui discutait avec un homme lors de son réveil. Et, elle reconnu le docteur. Mais elle ne fit pas le lien avec celle qui l'avait neutralisé.
"- Vous êtes bien jeune pour un travail si dure."
La voix avait jaillit de plus prés que ne le pensait Sayu. La petite fille ne se trouvait pas dans son état normale parce ce fut avec surprise qu'elle remarqua la femme agenouillée devant elle, au pied du lit. Elle lui passait avec douceur un chiffon mouillé sur le front. Sayu ne comprit pas bien le sens de ces paroles. Elle ne s'inquiétait pas, la femme devait faire partie du plan de Karl. Il n'allait d'ailleurs pas tarder à venir la chercher en la félicitant et en lui faisant des compliments. Sayu n'avait pas réussi sa mission, mais elle ne se demandait même pas si cela allait déplaire à ses instructeurs. Mais elle se sentait bien ici, devant cette femme. Elle n'avait jamais ressenti sa, elle aimait bien Mana.
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Ainsi, Mana entra dans la vie de Sayu. Après avoir quitté l'île du dictateur, Mana et Sayu s’installèrent dans une nouvelle maison, ou Mana l'éduqua. Mana était originaire d'une île loin d'ici. Elle s'y connaissait beaucoup en plante et transmis son savoir à Sayu en espérant que la jeune fille devienne une femme normale et puisse s'épanouir dans la joie et l'amour. Malgré les années passés ensemble, les deux femmes étaient séparés par un gouffre que aucune d'entre elle ne pouvait franchir et Sayu, bien que plus humaine qu'à son arrivée chez Mana, ne pouvait refouler son apprentissage d'assassin. Elle n'en montra rien à Mana, mais, une envie irrépressible de meurtre démangait Sayu. Lorsqu'elle quitta sa mère adoptive à l'âge de 17 ans, Sayu pu enfin laisser exploser sa vraie nature. Grâce à ses connaissances en plante, elle développa des poisons inconnus et extrêmement dangereux. Après deux ans d'errances elle entra dans le CP9. Trois ans après, elle était un atout pour le gouvernement.
Sayu ne le sut jamais mais, l'organisme de son enfance s'était éteint lorsque la marine avait découvert les agissements du "gouverneur de l'île". Elle avait alors totalement anéantis les monstres issus du même apprentissage que Sayu, les instructeurs et les témoins.
Comptez-vous être actif ? : Seul le temps pourra le dire. J’espère faire du mieux pour participer activement à ce forum.
Sujet: Sayu Yoruda 
Jeu 18 Aoû - 17:58
